Ce dossier a été créer et programmer sur internet, en janvier et février 2017.
Ne vous gênez pas pour m'envoyer vos commentaires,
et le nom de vous enfants et petits enfants, pour ajouter à l'arbre généalogique de la fin de ce document.
Mais entretemps "la parenté", amusez vous à lire l'histoire d'une partie de vos racines...
Michel Martel 2017.
La vie et la généalogie de :
Antoine Maltais (Antonio Martel) et Élisabeth Francoeur (Élise Leclerc).
Introduction
Ce document a été écrit par Michel Martel en janvier et février 2017. Je suis née en 1951 et je suis, après mes 2 cousin-cousine : Jean-Pierre Ducharme et Thérèse Martel, le troisième plus vieux petit-enfant, de mes grands-parents paternel, Antonio et Élise Martel.
Le contenu de cette rédaction, est le fruit de recherches et de témoignages verbaux, que j’ai recueillis dans les décennies de 1980 et 1990, sur la vie de Antonio et Élise.
Antonio et Élise ont eu une vie hors de l’ordinaire, probablement assez tumultueuse, dure, avec de la misère et de la solitude.
Mais également je suppose qu’ils ont quand même eu une vie familiale avec des moments de joie et de solidarité entre eux, puisqu’ils ont bâti une famille de 6 enfants, et sont demeurés ensemble jusqu’à la fin de leur vie … ils sont décédés en emportant avec eux, les explications de leur vie antérieure et avec les secrets d’une partie de leur vie.
Il m’a été impossible au cours de mes recherches, d’avoir la vérité exacte et les détails, sur ce qui est arrivé dans le début de leur relation. Voici leur histoire, d’après les informations que j’aie recueillies de, mes parents, oncles, tantes, du frère de mom grand-père Eugène Maltais, et de mes souvenirs de jeunesse.
La vie de Antonio et d’Élise.
L’histoire de Antoine Maltais et d’Élisabeth Francoeur dit Leclerc, est fort simple pour qui la regarde avec un oeil du 21ième siècle. Mais si on regarde leur aventure, avec des yeux du premier quart du 20ième siècle, (vers 1924), c’est tout à fait différent.
L’histoire est assez simple. Élisabeth Francoeur, originaire de St-Godefroy en Gaspésie, née et élevée dans un petit rang pauvre et perdu dans les terres de la péninsule Gaspésienne, se marie dans la jeune vingtaine avec un homme qui supposément était très jaloux, brutal, alcoolique et la maltraitait. Cet homme, le mari de Élisabeth était un Lecourtois (ou LeCourtois).
Le nouveau couple semble s’être établit au village de La Nouvelle, toujours en Gaspésie. Tout près de là, vit dans le village voisin de St-Omer, la famille de Jonh Maltais. John est marié à Josephte Roy, et ont 6 enfants: Léonie, Henri, William, Eugène, John et Antoine le plus jeune (qui deviendra mon grand-père).
Par quelle (s) circonstance (s), Élisabeth et Antoine se sont-ils rencontrés ?.
Quel évènement majeur est survenu dans ce coin de la Gaspésie entre Elisabeth et Antoine ? Entre Antoine et le mari d’Élisabeth ? Entre Élisabeth Antoine et leurs familles ?
Pourquoi leurs familles respectives (Les Maltais et les Francoeur) ont toujours eu une certaine “honte sociale” de la situation ; une gêne d’en parler, un peu comme s’il y avait un secret, un évènement douloureux, que l’on tient à conserver dans les souvenirs cachés de familles ?
Personne n’a jamais vraiment répondu à ces questions. Nous n’entrerons pas dans des spéculations, parce que la vérité sur ces évènements de 1924 est parti avec le décès de Antonio et Élise.
Mais selon Élide Francoeur, (neveu de Élisabeth, fils du frère de Élisabeth : Jean-Baptiste Francoeur), la cause première de la fuite de Élisabeth et Antoine, c'est que le mari de Élisabeth (Lecourtois) était très jaloux et aurais rechercher le couple de fugitif.
Élisabeth et Antoine se sont enfui et ont changer rapidement de nom pour ne pas se faire repérer par le mari de Élisabeth.
Je vais parler un peu plus bas sur cette page, de Élide et de son père Jean-Baptiste.
Somme toute, la situation connue de leur vie, est que suite à leur rencontre, ils sont tombés en amour et se sont enfuis ensemble. Ils sont tous les deux dans la jeune vingtaine. Ils vont quitter leur région, pour démarrer une vie d’exil loin des leurs. Ils ne reviendront jamais re-vivre en Gaspésie.
C’est une situation qui de nos jours, est rendue monnaie courante que de quitter son ou sa conjointe et de tomber en amour ailleurs. Mais en 1924 … ce n’était pas tout à fait vu de la même façon, surtout lorsqu’il y avait mariage, accompagné quelquefois d’évènements douloureux ?
Le résumé de la vie de ces deux amoureux fugitifs, fut qu’ils se sont supposément enfuis au début dans la région du lac St-jean, puis probablement un court temps dans la région de Montréal, peut être Trois-Rivières et finalement dans la ville de Cap-de-la-Madeleine.
Ils y ont fonder leur famille et sont demeurés au Cap-de-la-Madeleine jusqu’à leur mort, loin de leur parenté et de leur Gaspésie d’origine.
Ils ont modifiés rapidement en cours de route, leurs noms. À quel moment ont-ils fait ces changements ?
Pour quelle (s) raison (s) voulaient ils ne pas être “repérables” dans la province ? On pourrait croire comme réponse, la raison que Élide Francoeur mentionne ci-haut.
Antoine Maltais a donc changer son nom pour Antonio Martel et Élisabeth Francoeur, est devenue Élise Leclerc. Du côté de Élisabeth, si on regarde la généalogie des Francoeur, on voit qu’ils font parti de la descendance des Leclerc. Élise n’a donc pas garder le nom de son ex-mari, mais plutôt empruté celui de ses ancêtres lointains. Nous verrons plus loin dans ce texte, les explications de Élide Francoeur (neveu de Élisabeth) à ce sujet.
Avec ce changement d’identité, Antonio et Élise ont démarré la lignée des “Martel”.
Mon père Marcel Martel et ses frères et soeurs, sont devenus la première génération de Martel. Je fais parti avec mes frères, soeur, cousins, cousines, de la deuxième génération de cette descendance de Martel.
Selon certaines révélations , les six enfants d’Antonio et d’Élise, ont vécu sans connaître de parenté autour d’eux. Phénomène anormal, lorsqu’ils regardaient les autres familles de leur entourage.
En âge de poser des questions sur le sujet, ils n’ont jamais eu de réponses claires. La vérité leur a toujours été caché.
Ils ont eu une carence d’identité familiale par ce manque de liens normaux avec des grands-parents, des oncles, des tantes, des cousins, des cousines, absents de leur vie.
Ils ont vécu leur jeunesse ainsi et ont souffert malgré eux, de solitude face à une absence de parenté fondamentale comme des grands-parents.
Photo-4
Photo-4 = Antonio Martel vers 1939, avec ses 2 fils Marcel et Guy.
Grand-père de Michel Martel (à Marcel, à Antonio).
Photo-50, Antonio et Élise vers 1950
Photo-48
Vers 1945, la famille de Antonio et Élise.
Gauche à droite en partant d'en haut :
Guy, Antonio, Marcel, Jeannine, Élise, Liliane, Aline, Claude
Photo-49, Mariage de Marcel Martel et Madeleine Beaudreau (parents de Michel)
Gauche à droite : Antonio et Élise Martel, Marcel Martel et Madeleine Beaudreau Martel, Claircy Godin et Henri Beaudreau (Grands-parents maternel de Michel).
Photo-29
Photo-29 = Élise et Antonio Martel en 1962.
Photo-30
Photo-30 = La famille d'Antonio et Élise Martel, le 30 juin 1962,
lors du mariage de Jean-Claude.
De Gauche à droite : Marcel, Liliane, Guy, Élise, Antonio, Aline, Jean-Claude, Jeannine.
C’est lors de leur début de vie adulte, à leur mariage, que (surtout) mon père Marcel et son frère Guy, ont commencés à voyager pendant quelques années, en périodes estivales, en Gaspésie. Ils ont ainsi découverts une partie de l'histoire de leur parents.
Mes parents Marcel et Madeleine, nous ont toujours (moi et mes frères) amenés lors de ces voyages. J’ai mémoire de plusieurs moments de ces voyages, lorsque j’avais entre 5 et 12 ans et que nous visitions beaucoup de parenté du nom de Maltais, et je n’ai jamais fait de relations dans ce temps là à savoir pourquoi mes grands-oncles s’appelaient Maltais et moi Martel. Je n’ai jamais allumé. Ce n’est que plus tard dans la trentaire, que j’ai commencé à comprendre …
Élise a toujours été considéré comme une femme assez sévère. Elle menais la vie familiale d’une main ferme. Elle avait un caractère très prononcé et a souvent mener la vie difficile à ses brues et gendres. Le caractère quelquefois explosif et têtu des “Martel”, à ce qu’on dit, vient un peu des gênes d’Élise.
On peut supposer qu’Élisabeth ne l’a peut être pas eu tellement facile, elle non plus dans sa jeunesse.
J’ai rencontrer en 1991, lors d’un voyage en Gaspésie dans la Baie-des-Chaleurs, le frère de mon grand-père Antonio : Eugène Maltais.
Ayant été pendant une bonne partie de ma vie musicien professionnel. J’ai voyager beaucoup à la grandeur de la province pour donner des spectacles. C’est en compagnie de ma conjointe (musicienne, chanteuse) Maryse Béliveau, que nous avons effectué en 1991 une tournée de spectacles dans des évènements de festivals d’été, dans la région de la Gaspésie.
J’ai profité de ce voyage, pour visiter et photographier les maisons ancestrales de mes ancêtres et endroits de naissance de mes grands-parents.
Lorsque je me suis présenter à Eugène, il a été ému, il m’a serré très fort et il a été extrèmement gentil. Eugène avait déjà eu la visite dans les décennies précédentes de mon père et de mon oncle Guy, il nous connaissait depuis longtemps. Mais Il n’avait encore jamais reçu la visite de la deuxième génération adulte de Martel. Avec sa deuxième épouse, ils nous ont invités Maryse et moi à souper.
Voici ce que m’a révélé Eugène, lors de cette soirée.
La rencontre avec Eugène Maltais en 1991,
frère de mon grand père.
Photo-18
Photo-18 = Eugène Maltais en 1991, 96 ans, avec sa deuxième femme.
Photo-19
Photo-19 = En 1991, de gauche à droite :
Maryse Béliveau conjointe de Michel Martel,
Eugène Maltais 96 ans avec sa deuxième femme,
et Michel Martel.
J’ai rencontrer Eugène Maltais, chez lui le 10 août 1991 à sa maison de St-Omer, située au 334 route 132 ouest. La maison existe encore au moment de la rédaction de ce texte en février 2017, vous aurez dans ce document les coordonnées de google map.
Lorsque je l’ai visité, Eugène venait d’avoir 96 ans au mois d’avril 1991, il était encore en bonne forme physique et mentale. Étant le frère de Antoine mon grand-père, il est donc mon grand-oncle.
Il est né en 1895, quatrième enfant de John Maltais et Josephte Roy. Il a été baptisé à l’église de Carleton, parce que St-Omer qui se trouve le village voisin de Carleton (8 Km.) n’avait pas encore d’église ni d’hôtel de ville et faisait partie de Carleton. Le village voisin de St-Omer était La Nouvelle.
Eugène a hérité de son père John, de la maison ancestrale familiale à l’âge 15 ans. Cette maison, c’est son père John qui l’avait construiite alors q’ Eugène n’avait que 5 ans (1900). Il a toujours travailler la terre comme son père, animaux, culture etc. Il n’a jamais vécu de la pêche. Sa terre avait 150 pieds de large par un mille et demi de long. Eugène aimait beaucoup la chasse, qu’il pratiquait en raquettes surtout l’hiver.
Photo-3
Photo-3 = Photo du début 20ième siècle, de John Maltais et Josephte Roy,
arrière-grands-parents paternel, de Michel Martel (à Marcel, à Antonio (Antoine), à John)
Eugène a été marié 2 fois. Du premier mariage est née 8 enfants, du deuxième 4 enfant. Il avait 75 ans lorsqu’il a conçu son dernier enfant, une fille. Lorsque sa fille a eu 21 ans en 1990, il a donné sa fille en mariage à l’âge de 95 ans.
Eugène a dépassé le cap du centenaire, il a été fêté et proclamé doyen dans sa région, et est décédé vers l’âge de 103 ans.
Les enfants de John et Josephte Maltais,
(les frères et soeurs d’Eugène)
sont par ordre d’âge :
Léonie : qui s’est rendue au Lac St-Jean et s’est marié avec Isidore Laroque.
C'est chez Léonie au Lac St-Jean, ou dans la maison voisine de Léonie, que Antoine et Élisabeth ont vécus dans les premiers moments de leur "fuite conjugale".
Henri : qui a vécu vers la fin de sa vie Ontario je crois.
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Photo-39, en 1958. De gauche à droite : Henri Maltais (en noir), son Fils ? (avec des bretelles) et sa femme et enfants, à la droite, mon père Marcel Martel avec ses fils André et Michel.
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Photo-40, en 1958. De gauche à droite : Henri, 2 de ses petits enfants, épouse de son fils, ma mère Madeleine Beaudreau-Martel, mon frère André près de ma mère et moi, et le fils de Henri (avec des bretelles).
William : qui a vécu dans les “colonies” situées dans les terres perdues au milieu de la péninsule Gaspésienne. Je me souviens d’avoir visiter en bas âge, avec mes parents et mon grand-oncle John Maltais, cette famille très pauvre de William qui demeuraient dans une maison presque abandonnée et vétuste dans le milieu de nulle part … on avait voyager plusieurs heures dans des routes cahotteuses de “guenottes” pour se rendre à cet endroit au bout du monde. Mon grand-oncle William avait plusieurs enfants, et ils étaient tous blonds.
Pour celles et ceux qui me lisent et qui ne connaissant pas le phénomène de la création des colonies de 1929, disons en résumé simple, que en 1929-30, il s’est produit un “crash” boursier mondial, qui a amener une grosse récession mondiale. Ce que l’on a appellé “ la Crise”.
Fermeture d’usines un peu partout dans la province. Beaucoup de chômage à la grandeur de l'amérique du Nord. La gaspésie n'a pas été épargnée par des fermetures d’usines à papier.
La nourriture dans les grandes villes était au rationnement. Il y avait besucoup de pauvreté. Pour trouver un moyen de combattre le chômage et aider la population des villes, le gouvernement a ouvert des “colonies”, sur les terres de la couronne, dans les régions éloignées du Québec.
Le gouvernement voulait sortir les gens des villes. Dans ces colonies, le gouvernement donnait une terre et une subvention pour attirer de nouveaux colons vers la campagne. C’est ainsi que s’est fait entre autres la colonisation de l’Abitibi, des régions éloignées du Lac St-Jean, du bas du fleuve, de la côte Nord, du centre de la Gaspésie . À chaque année le gouvernement donnait aux colons, une vache ou un boeuf ou une charue etc.
Ces colonies se sont avérées dans les années 1940-50, un fiasco à beaucoup d’endroits. Le gouvernement ne pouvait plus suffire à toutes ces subventions, les colonies sont devenues plus pauvres, et en grande partie désertées. Des maisons, des régions, ont été abandonnés.
Ces colonies étaient souvent installées sur des terres arides, des terres de roches.
C’est lors de cette décadence des colonies du centre de la péninsule Gaspésienne, que nous avons visité la famille de William.
En voici quelques photos de 1958 :
Photo-40
Photo-40, en 1958.
William Maltais (frère de Antoine) et ses enfants "blonds", grande pauvreté de la fin de la période des colonies qui ont été établies, lors de la crise de 1929.
Sur la photo, William à côté de leur maison de misère ...
En bas de la photo à gauche, mon frère André Martel.
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Photo-41, en 1958.
Gauche à droite : William Maltais, (son enfant), Marcel Martel mon père, femme de William (enfants)
André Martel, John Maltais (frère de Antoine), et moi Michel Martel (7 ou 8 ans).
Photo-42
Photo-42, en 1958.
Gauche à droite : William Maltais et un de ses enfants, John Maltais, mon frère André Martel de dos.
Eugène : qui a hérité de la terre et de la maison familiale de son père John, à St-Omer.
John : Lors des voyages dans ma jeunesse avec mes parents, je me souviens que nous allions demeurer chez lui.
C’était un bon vivant, très jovial, qui ressemblait comme 2 gouttes d’eau à mon grand-père.
En 1991, il habitait en Abitibi dans une maison de veillard.
Antoine ; le plus jeune, celui qui deviendra mon grand-père paternel.
Lorsque je parlais de mon grand-père avec Eugène, il ne voulait jamais trop parler du sujet et répétait souvent “pauvre Antoine”…
Il n’a pas été bavard sur la rencontre de Antoine et d’Élisabeth.
Le résumé de ce qu’il m'a raconté c’est, qu’Antoine s’était rendu avec Élisabeth au Lac St-Jean, dans une maison près de sa soeur Léonie (ou Lucie ?), puis qu’il s’était rendu aux Trois-Rivières, qu’il avait eu une maison qui a été incendié, et qu’il était demeuré par la suite près de là, sur la rue Mère-Gamelin. (Il est naturel que Eugène confondait Trois-Rivières et la ville voisine de Cap-de-la-Madeleine, n’ayant jamais voyager dans ce coin de la province).
Selon un témoignage de Jeannine (fille de Antonio), elle avait 5 ans, lorsque leur maison a été incendiée. C’était une maison située près de l’acien complexe hôtellier “Le sapin bleue” sur la rue Thibeau au Cap-de-la-Madeleine. En 2017 ce complexe n’existe plus, mais pour nous situer disons cette maison était située au Nord de l’intersection de la rue Thibeau et de la rue Chemin du passge.
Eugène n’a revu Antoine que16 ans plus tard après son départ de la Gaspésie, Antoine avait 35 ans.
Eugène était alors en voyage avec son fils pour une mortalité dans le coin de Drummondville. Son fils avait déja travailler dans une usine à papier à T.R. et c’est lui qui avait dit à son père q’Antoine y vivait et que sa maison avait passer au feu et qu’il demeurait maintenant au Cap de la Madeleine sur la rue Mère Gamelin.
Eugène s’y est rendu et à rencontrer Antoine. Celui ci avait déjà toute sa famille.
Par les années suivantes, Antoine s’est rendu à quelque reprises à la maison paternel en gaspésie. Eugène m’a dit qu’il ne lui avait jamais poser de questions par rapport à toute cette histoire, parce qu’il ne voulait pas l’embarrasser. Antoine semblait très gêner face à la famille et il n’aurait même pas donner signe de vie à la mort de son père et de sa mêre...
Lorsqu’est venu le temps de la pension d’Antonio, il a écrit à Eugène lui demandant d’aller à l`église de St-Omer pour avoir une copie de son baptistère. Dans l’envoie postal, Antonio aurait insérer une feuille en blanc, demandant à Eugène d’y faire apposer le sceau de la paroisse. Selon Eugène, Antoine n’avait fait changer son nom qu’à l’église mais pas au gouvernement. À l’aide d’un avocat, il aurait falsifier son baptistère pour sa pension de vieillesse.
En me parlant de Élisabeth, Eugène mentionne qu’elle est née Elisabeth Francoeur et était originaire de St-Godefroy, non loin de Carleton.
Elle était la fille de Narcisse Francoeur et de Ursule Roussy. La maison familiale est passée aux mains du frère d’Élisabeth, Jean-Baptiste.
Lorsque j’ai visiter à l”été de 1991 la maison familiale de Élisabeth, j’ai rencontrer le fils de Jean-Baptiste Francoeur, ÉMILE (voir sa photo plus bas dans cette page), il avait à son tour hérité de son père de la maison et de la terre familiale des Francoeur (Leclerc).
Neveu de Élisabeth. Il m’a donné le nom d’un de ses frères, ÉLIDE Francoeur, qui était Frére Oblats dans la communauté Chrétienne de Saint-Pierre Apôtre à Montréal.
J’ai communiqué par la suite avec Élide Francoeur. Il m’a mentionné que les Francoeur de son arbre généalogique, ont commencés au début par être des Leclercs dit Francoeur, et que tout au long des générations, leur nom s’est transformé en Francoeur dit Leclerc.
La lignée de son père et grand-pères c’était des Francoeur, mais selon Élide, certains de ses “vieux” oncles ont continués de s’appeler des Leclerc dit Francoeur.
Il parait également que cette ligné des premiers Leclerc dit Francoeur de l’Ïle d’Orléans, ont peut être une relation avec la lignée de l’artiste Félix leclerc dont ses ancêtres sont également originaire de l’Ïle d’Orléans. Selon toujours Élide, plusieurs membres des générations de Leclerc dit Francoeur se sont retrouvés dans Charlevoix.
Élide dit que dans la famille des Francoeur, Élisabeth a toujours été appeler "Lisé". De la généreation de Élide, elle était connue comme la tante Lisé. On peut présumer que c'est un diminutif de Élisabeth.
Élide m’a envoyé par la poste en 1995, la généalogie des Francoeur dit Leclerc.
Plus tard en 1997, j’ai communiquer avec Jean-Nil Maltais de la Gaspésie, et c’est lui qui m’a fourni la généalogie de Maltais.
Voici les généalogies.
Généalogie des Maltais-Martel
Lettre de Jean-Nil Maltais de la Gaspésie, à Michel Martel, en 1997, lors de la transmission de cette généalogie des Maltais, de la branche de Antoine.
Ancêtres | Mariages | Enfants | Mariages | |
François Nicolas Malteste (Poitier, France) | Marie-Anne Roland de St-Cibar (Poitier) | Jean-Baptiste | ||
Jean-Baptiste Malteste (Maltais) | Marie-Josephte Gagnon, Éboulements 13 nov. 1753 (Fille de Joseph Gagnon et Madeleine Tremblay de Baie St-Paul, baptisé 1 juin 1719 à Baie St-Paul, veuve de Jean Gonthier) |
Geneviève |
|
|
Jean-Marie | Marie Charlotte Dallaire I,C, 1783 | |||
Alexis | Marie Tremblay, 1782 | |||
Jean-Marie (Malteste ou Maltais ??) | Marie Charlotte Dallaire I,C, 1783 (Mariés à l'Isle aux Coudres, le 7 juillet 1783.) |
Marie-Anne | Martin Gravel 1810 | |
Geneviève | Philippe Lavoie 1816 | |||
Olive | André Couturier 1820 | |||
Christine | Jean-Baptiste Boudreault 1824 | |||
Julienne | Noel Lavoie 1832 | |||
Jean | Marguerite Bellay 1810 | |||
Anthime | Félicité Tremblay Éboulements 1810 | |||
Pierre | Marie Bellay 1813 | |||
Marcel | Dorothée Desbiens | |||
François | Marguerite Harvey | |||
Bellarmin | Geneviève Gagnon | |||
Anthime | Félicité Tremblay Éboulements 1810 | Pierre | ????? | |
Thomas | Aurélie Tremblay | |||
Pierre | ????? | John | Josephte (?) Roy | |
Abraham | ????? | |||
John | Josephte (?) Roy | William |
|
|
Henri | ||||
Eugène | ||||
Lucie | ||||
John | ||||
Antoine | Élisabeth Francoeur (Leclerc) (conjoints de fait) |
|||
Antoine Maltais (nom à sa naissance) change pour Antonio Martel né 03-01-1902, décédé 18-09-1988 |
Élisabeth Francoeur (Leclerc), conjoints de fait change pour Élise Leclerc née 01-04-1901 décédée 20-01-1995 |
Liliane Martel | Elphège Ducharme, 27-09-1947 | |
Guy Martel | Marie-Anne Chamberland 25-06-1949 | |||
Marcel Martel | Madeleine Beaudreau,12-08-1950 | |||
Jeannine Martel | Gaston Charette, 26-05-1951 | |||
Jean-Claude Martel | Marie-Ange Gastonguay, 30-06-1962 | |||
Aline Martel | Edgar Pruneau, 11-06-1960 | |||
Marcel Martel, père de Michel Martel |
Comme on peut le voir dans le graphique ci-haut de la généalogie des Maltais-Martel, Jean-Baptiste Malteste est le premier de notre lignée de Maltais, à arriver en Nouvelle-France (au Québec), probablement dans le milieu du 18ième siècle (autour de 1750)
Ce premier patronyme de Malteste ou Maltest, est le nom de notre ancêtre de France : François-Nicolas Malteste et de son fils Jean-Baptiste né en France.
À quel moment est-ce que Jean-Baptiste a changer son l'orthographe de son nom de Malteste à Maltais, ??? est-ce en France ou à son arrivée ici en Nouvelle -France, ??? je ne sais pas.
Si vous passez par le village des Éboulements, je vous invite à aller dans le cimetière de ce village. Vous y trouverez une grosse croix de fer commémorant l’arrivée du premier Maltais dans cette région : notre ancêtre Jean Baptiste Maltais (Malteste).
Le patronyme de Malteste ou Maltest ou Maltais, signifie : Mauvaise tête … (la "tête dur" des Martel, est-ce que ça vient de là ...)
ANECDOTE !!!
Ma (notre) cousine Diane Marchand (à Jeannine Martel-Charette, à Elisabeth Francoeur-Martel, à Ursule Roussy-Francoeur-Leclerc), a fait une recherche sur le web, et voyez sur quoi elle est tombé :
Salut Michel, ce matin, je trouve sur un site qui parle d'ancêtre, cette note au sujet de Jean-Marie Malteste de la Malbaie.
"L'an 1756 le onze mai par nous soussigné... missionnaire... de la Compagnie de Jesus dans le domaine du Roy ay baptisé ........Jean-Marie(illisible) Malteste né la veille du mariage legitime de Jean-Baptiste Malteste et de Mme Josephte Gagnon. Le parrain ......Tremblay et la marraine Marie Gauthier fille de...... signe, Coquart ptr."
Est-ce bien ce que je comprends, né la veille du mariage légitime !!!!
Photo-5
Photo-5 = Croix des Maltais.
Installée dans le cimetière des Éboulements dans Charlevoix.
Cette croix commémore l'arrivée du premier Maltais aux Éboulements,
au temps de la Nouvelle-France vers 1740-1750
et du mariage en 1753 de :
Jean Baptiste Maltais et Marie-Josephte Gagnon.
La maison ancestrale des Maltais,
Lieu de naissance de Antoine Maltais (grand-père du côté paternel de Michel Martel),
maison située au 334 route 132, à St-Omer, en Gaspésie.
Photo-20
Photo-20 et 21 = l'apparence de la maison en 1991.
Construite en 1900, par John Maltais, l'arrière grand-père de Michel Martel.
Photo-21
Photo-22
Sur photos 22 à 28,
Google Map, nous montre que la maison existe toujours en 2017.
Photo-23
Photo-24
Photo-25
Photo-26
Photo-27
Photo-28
Emplacement des 2 maisons ancestrales des familles Maltais et Francoeur.
Généalogie des Francoeur dit Leclerc
Lettre de Élide Francoeur de Montréal, à Michel Martel, en 1995, lors de la transmission de cette généalogie des Francoeur dit Leclerc.
photo-31
Photo-31, URSULE ROUSSY (FRANCOEUR)
Mon arrière-grand-mère (du côté de ma grand-mère paternel Élise).
Mére de Élisabeth Francoeur.
Photo prise, par mon père Marcel Martel, lors d'un voyage en gaspésie vers 1960.
Souvenir de ma jeunesse de ti-gars, que ma grand-mère Élise voulait avoir cette photo de sa mère, qui était un souvenir de famille qui lui tenait à coeur.
Mais son frère Jean-Baptiste Francoeur qui habitait la maison familiale à St-Godefroy, a refusé de lui donner cette photo dans un cadre ancestral en oval.
C'est la raison pour laquelle mon père à photographier le cadre dans le salon de la maison Francoeur, et à son retour du voyage en gaspésie, a donné une copie de cette photo à sa mère Élise. J'étais sur place lorsque mon père lui a remis cette photo, ma grand-mère a pleuré ...
Photo-34
Sur cette photo-34, c'est URBAIN FRANCOEUR, vers 1958, le frère du père de Élisabeth, Narcisse Leclerc dit Francoeur.
Il est l'oncle de Élisabeth, le grand-oncle de Élide Francoeur.
photo-32
Photo-32 en 1958, RÉGINA la soeur de Élisabeth.
de gauche à droite : Moi et mon frère André habillé pareil, en haut ma mère Madeleine Beaudreau-Martel, qui la tient par le cou, le mari de la soeur de ma grand-mère Élise, mon père Marcel Martel à l'arrière à droite qui tient par l'épaule, la soeur de Élisabeth : Régina. Et leur petits enfants en avant.
Photo prise à leur maison à St-Quentin.
photo-33
Photo-32 en 1958, RÉGINA la soeur de Élisabeth.
De gauche à droite, Michel, ma mère Madeleine Beaudreau,mon frère André.
Au centre de la photo le mari de Régina et à droite complètement Régina.
La maison ancestrale des Francoeur dit Leclerc,
Lieu de naissance de Élisabeth Francoeur.
maison située au 174 3ième rang, à St-Godefroy, en Gaspésie.
photo-35
Sur photos 35-36-37
La maison ancestrale des Francoeur vers 1958.
photo-36
photo-37
cette auto noire c'était celle de mon père, lors de notre voyage en gaspésie en 1958.
Photo-6
Photos-6 et 7
En 1991, voici le fils de Jean-Baptiste Francoeur ( Jean-Baptiste est le frère de Élisabeth), ÉMILE.
Il a hérité à son tour, de son père Jean-Baptiste, de la maison familiale ancestrale des Francoeur.
En 2017, ÉMILE sur cette photo est décédé depuis 1999. Ghislain son fils possède maintenant la maison, et Roger le plus jeune de Émile possède la terre.
Jean-Baptiste Francoeur (frère de Élisabeth) et Marie-Louise Essiambre, ont eu une famille de 16 enfants.
Son fils Élide, Oblat à Montréal et dont j'ai parler plus haut dans cette page, est le deuxième enfants de la fin. Il est encore vivant en 2017.
Le plus jeune des enfants de Jean-Baptiste s'appelle Léry, et vit à Timmins en Ontario.
Photo-7
Photo-8
La grange ancestrale en arrière de la maison et la terre que les Francoeurs ont cultivés sur plusieurs générations.
Élide m'a raconté que son père Jean-Baptiste, avait autrefois 2 granges, celle sur la photo est la plus petite.
Il avait aussi un "engin", avec lequel il pouvait battre les grains et faire différents travaux.
Photo-9
Photos 9-10-11
La maison ancestrale des Francoeur dit Leclerc (ou Leclerc dit Francoeur), que Michel Martel a photographié en 1991.
Élisabeth est née ici.
Photo-10
Photo-11
Photo-12
Google Map, nous montre que la maison existe toujours en 2017.
Photo-13
Photo-14
Photo-15
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La ritournelle des Martel-Maltais,
pour établir la descendance des garcons.
Cette ritournelle s’applique à tous les garcons de Antonio : Marcel ,Guy, et Claude Martel et leurs descendance mâle.
Voici la ritournelle de Michel Martel. 8ième génération.
Au lieu du nom de Michel, on peut metre le nom de ses frères : André, René, Louis, Yves, (petits-fils de Antonio), fils de Marcel
Michel Martel, À
Marcel Martel, À
Antonio Martel (Antoine Maltais), À
John Maltais, À
Pierre Maltais, À
Anthime Maltais, À
Jean-Marie Maltais, À
Jean-Baptiste Malteste (Maltest, Maltais), À
François-Nicolas Malteste, Poitou en France
En réalité une ritournelle se fait par les prénoms seulement, comme ceci :
Michel, À
Marcel, À
Antonio, À
John, À
Pierre, À
Anthime, À
Jean-Marie, À
Jean-Baptiste, À
François-Nicolas.
Mais comme nous avons dans nos ancêtres, des changements de noms de Malteste à Maltais à Martel, j’ai écrit la ritournelle avec les noms de famille.
Voici la ritournelle de Jacques, fils de Guy Martel, 8ième génération.
Jacques Martel, À
Guy Martel, À
Antonio Martel (Antoine Maltais), À
John Maltais, À
Pierre Maltais, À
Anthime Maltais, À
Jean-Marie Maltais, À
Jean-Baptiste Malteste (Maltest, Maltais), À
François-Nicolas Malteste, Poitou en France
Voici la ritournelle de Bruno, fils de Jean-Claude Martel, 8ième génération.
Bruno Martel, À
Claude Martel, À
Antonio Martel (Antoine Maltais), À
John Maltais, À
Pierre Maltais, À
Anthime Maltais, À
Jean-Marie Maltais, À
Jean-Baptiste Malteste (Maltest, Maltais), À
François-Nicolas Malteste, Poitou en France
Voici la ritournelle de Rémy Martel, fils de Louis Martel, 9ième génération.
On peut faire de même avec Francis et Bobby les deux fils de Yves Martel, ou Julien fils de André Martel.
Rémy Martel, À
Louis Martel, À
Marcel Martel, À
Antonio Martel (Antoine Maltais), À
John Maltais, À
Pierre Maltais, À
Anthime Maltais, À
Jean-Marie Maltais, À
Jean-Baptiste Malteste (Maltest, Maltais), À
François-Niciolas Malteste, Poitou en France
Voici la ritournelle de William Martel, fils de Francis Martel, 10ième génération.
On peut faire de même avec Tristan, le fils de Rémy Martel (à Louis, à Marcel, à Antonio), ou avec Lorik et Léonard, les 2 fils de Julien Martel (à André, à Marcel, à Antonio).
William Martel, À
Francis Martel, À
Yves Martel, À
Marcel Martel, À
Antonio Martel (Antoine Maltais), À
John Maltais, À
Pierre Maltais, À
Anthime Maltais, À
Jean-Marie Maltais, À
Jean-Baptiste Malteste (Maltest, Maltais), À
François-Niciolas Malteste, Poitou en France
C’était autrefois coutume dans plusieurs régions du Québec, de retenir sa propre ritournelle, pour perpétuer les descendances mâles dans chaque famille.
Voici l'arbre généalogique
des 6 enfants de Antonio et Élise.
Cet arbre non conventionnel, retrace les descendants des 4 différentes familles de base, qui proviennent de l'union de Antonio et d'Élise :
les Martel (de Guy, Marcel, Claude), les Ducharmes (de Liliane), les Charette (de Jeannine), les Pruneau (de Aline).
Marie-Anne Chamberland-Martel, (femme de Guy Martel), avec sa mémoire phénoménale et son sens de l’ordre, à pris en note, au fil des années, la majorité de ces informations importantes des naissances mariages et décès des : enfants, petits-enfants et petits-petits- enfants de Antonio et Elise. (4 générations avec celle de Antonio et Elise).
En Janvier 2017, Michel Martel a recompilé les notes de "ma tante Marie", et a ajouter d'autres noms et dates, pour continuer l'énumération des générations qui découlent de Antonio et Élise.
À vous maintenant, lecteurs lectrices des familles de descendances, de m'aider à faire grossir cet arbre.
Avant de compléter cette liste, on peut constater que Antohio et Élise ont à leur actif : 6 enfants, 24 petits-enfants et 36 petits-petits-enfants.
Merci tante Marie !
N.B. Dans cet arbre, le mot conjoint(e) signifie "conjoints(tes) de fait" sans mariage religieux ou civil.
Antoine Maltais (Antonio Martel)
Naissance 03-01-1902 décès 18-09-1988
Elisabeth Francoeur (Élise Leclerc)
Naissance 01-04-1901 décès 20-01-1995
Conjoints de fait. (vers 1923 ??)
Leurs enfants :
Liliane, Guy, Marcel, Jeannine, Jean-Claude, Aline … Martel
Premier enfant : Liliane Martel, Naissance 11-09-1924, Mariage 27-09-1947 à Elphège Ducharme Naissance 24-01-1912, décès 01-03 1966
Enfants Ducharme de Liliane-Elphège : Jean-Pierre, France.
Jean-Pierre , Naissance 26-04-1949, Mariage 29-05-1971 à Carole Ouellet Naissance 07-08-1950,
Enfants Ducharme de Jean-Pierre et Carole
Christian Naissance 06-10-1972, Mariage 07-09-1996 à Karine Morel Naissance 12-01-1972, leur fille Marie-Eve Naissance 26-09-1997.
Jean-Michel, Naissance 26-08-1974
Jocelyn, Naissance 01-06-1976
France , Naissance 12-03-1952, Mariage 30-10-1971 à Jean Sirois
Deuxième enfant : Guy Martel , Naissance 24-04-1926, Mariage 25-06-1949 à Marie Anne Chamberland Naissance 16-09-1929,
Enfants Martel de Guy-Marie : Thérèse, Jacques, Jocelyne.
Thérèse , Naissance 18-03-1950, Mariage 23-12-1972 à Philippe Buisson Naissance 26-05-1951,
Jacques , Naissance 25-03-1952, Mariage 21-10-1972 à Francine Juneau Naissance 06-08-1954,
Enfant Martel de Jacques –Francine,
Nathalie, Naissance 18-05-1976
Jocelyne , Naissance 05-01-1957, Mariage 26-05-1976 à Jean Arcand Naissance 19-03-1953,
Enfants Arcand de Jocelyne –Jean,
Jeff, Naissance 13-07-1983
Billie Naissance 30-010-1985
Joey Naissance 02-09-1991
Troisième enfant : Marcel Martel, Naissance 14-08-1928, Mariage 12-08-1950 à Madeleine Beaudreau Naissance 28-02-1926,
Enfants Martel de Marcel-Madeleine : Michel, André, René, Louis, Yves, Lise
Michel , Naissance 14-06-1951, Conjointe Maryse Béliveau Naissance 27-06-1958,
Enfants Martel de Michel –Maryse,
Stéfanie, Naissance 30-01-1990, conjoint Loïc Tremblay Naissance ...,
enfants Tremblay de Stéfanie et Loïc : Élie Naissance ..., Rosie Naissance ...
Valérie, Naissance 13-02-1995
André , Naissance 17-11-1952 Décès 04-07-2002, Mariage 12-04-1965 à Sylvie Lebrun Naissance 15-06-1953,
Enfants Martel de André–Sylvie,
Julien, Naissance 21-10-1979, Mariage 23-07-2011 à Julie Grenier Naissance 07-02-1982,
enfants Martel de Julien et Julie : Lorik Naissance 06-09-2008, Léonard Naissance 17-08-2010, Coraline Naissance 24-02-2013
Amélie, Naissance 28-08-1985, conjoint François-Olivier Marchand Naissance 31-05-1984,
enfants Marchand de Amélie et François-Olivier : Charles-Olivier Naissance 07-10-2010, Lucas Naissance 09-12-2012, Félixe Naissance 27-06-2014
René , Naissance 08-04-1956, Mariage-1 le 1 02-06-1969 à Josée Gagnon, Conjointe-2 Sylvie Blanchette
Louis , Naissance 23-03-1958, Mariage 27-02-1982 à Lucie Hamelin Naissance 16-10-1957,
Enfants Martel de Louis –Lucie,
Rémy, Naissance 09-05-1982, Mariage-27-08-2005 à Sabrina Fournier Naissance 08-02-1984
enfants Martel de Rémy et Sabrina : Tristan 11-02-2006, Juliette 10-03-2008, Flavie 30-03-2011
Julie, Naissance 20-05-1984, conjoint-1 Mark Cullen Naissance 19-09-80, Conjoint-2 Jean-Sébastien Vadeboncoeur Naissance 10-08-83,
enfant Cullen de Julie et Mark : Matt Naissance 14-12-2005,
enfant Vadeboncoeur de Julie et Jean-Sébastien : Zoé Naissance 17-11-2011
Joanie, Naissance 26-01-1987, Mariage-22-08-2015 à Dominic Allard Naissance 06-08-1984
enfants Allard de Joanie et Dominic : Elliot 30-06-2012, Raphaelle 07-08-2014
Yves , Naissance 30-04-1960, Mariage 05-08-1983 à Carole Neaullt Naissance 01-01-1960,
Enfants Martel de Yves –Carole,
Josée, Naissance 20-11-1983, conjoint Jean-Charles Métier 06-06-1989,
enfants Métier de Josée et Jean-Charles : Maélie 16-10-2011, Zachary 17-03-2016
Francis, Naissance 10-01-1986
Bobby, Naissance 05-05-1989
Lise , Naissance 17-05-1962, Mariage 10-12-1983 à Mario St-Onge Naissance 26-11-1961,
Enfants St-Onge de Lise-Mario,
Janie, Naissance 30-05-1990
Gabrielle, Naissance 13-11-1991
Anthony, Naissance 25-03-1995
Quatrième enfant : Jeannine Martel, Naissance 26-05-1932, Mariage 26-05-1951 à Gaston Charette Naissance 22-09-1929 Décès 11-04-1987
Enfants Charette de Jeannine-Gaston : Diane, Ginette, Micheline, Denis, Nicole, André, Réjean, Robert, Julie.
Diane, Naissance 10-03-1952, Mariage le 23-06-1973 à Réjean Marchand né le 13-09-1948.
Enfants Marchand de Diane et Réjean,
Nathalie, Naissance 08-07-1975
Sylvain, Naissance 02-09-1978
Ginette, Naissance 17-03-1953, Mariage le 19-12-1976 à Jean Labelle né le 14-10-1953.
Micheline, Naissance 07-07-1954, Décédée le 08-10-1954.
Denis, Naissance 15-10-1955, Mariage le 30-07-1977 à Diane Morin né le 15-05-1959.
Enfants Charette de Denis et Diane,
Patrick, Naissance 27-10-1981
Valérie, Naissance 12-11-1983
Nicole, Naissance 27-02-1957, Mariage le 12-07-1980 à Serge Ayotte né le 30-04-1956.
Enfants Ayotte de Nicole et Serge,
Marie-Eve, Naissance 19-09-1982
Marc-André, Naissance 06-06-1985
André, Naissance 02-01-1960, Mariage le 25-07-1981 à Huguette Houle né le 20-08-1959.
Enfants Charette de André et Huguette,
Marilyne, Naissance 24-01-1983
Claudia, Naissance 01-08-1987
Mathieu, Naissance 13-03-1988
Réjean, Naissance 28-01-1961,
Enfant Charette de Réjean,
Dave, Naissance 19-01-1988
Robert, Naissance 04-11-1964.
Julie, Naissance 10-01-1974,
Cinquième enfant : Jean-Claude Martel , Naissance 23-07-1934, Mariage 30-06-1962 à Marie-Ange Gastonguay Naissance 05-11-1938, Décès de Jean-Claude 18-09-1995
Enfant Martel de Jean-Claude et Marie-Ange : Bruno.
Bruno, Naissance 03-04-1963, Conjointe Diane Deschamps Marchand Naissance ??.
Enfant Martel de Bruno et Diane,
Marc-Antoine, Naissance ??
Sixième enfant : Aline Martel , Naissance 18-07-1939, Mariage 11-06-1960 à Edgar Pruneau Naissance 19-06-1939
Enfants Pruneau de Aline et Edgar : Joanne, Annie, Érick.
Joanne, Naissance 08-05-1961, Mariage le 05-09-1981 à Roger Fontalne Naissance 02-09-1958.
Enfants Fontaine de Joanne et Roger
Karine, Naissance 22-10-1985
Kevin, Naissance 06-11-1988
Vanessa, Naissance 07-09-1990
Annie, Naissance 05-11-1963, Conjointe ??
Erick, Naissance 16-10-1970, Diane Martel né le 27-08-1971
Enfants Pruneau de Erick et Diane
Marie-Eve, Naissance 21-01-1993
Alexandre, Naissance 18-05-1985
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les noms des générations qui suivent de cette couleur,
pour continuer cette arbre généalogique et que l'on se souvienne...
J’ai dans mes dossiers, les photos numérisées de ce document. Elles sont à haute définition.
Par contre pour les besoins de “légèreté” pour les faire voyager plus vite sur le web, ces photos ont été réduites en qualité et en poid.
Si vous désirez avoir une copie en haute définition d’une de ces photos, vous n”avez qu’à me le demander :
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Michel Martel, février 2017