Segment-1, constats historiques et vue d'ensemble de la maison à sa récupération.
Segment-2, début du document d'expertise de la maison.
Segment-3, suite du document d'expertise de la maison.
Segment-4, fin du document d'expertise de la maison.
Segment-5-a, Lavage intérieur.
Segment-5-b, Travaux extérieurs.
Segment-5-c, Travaux extérieurs et coloration.
Segment-6, photos de la restauration complétée, à l'intérieur (photos de février 2014)
Segment-7, photos de la restauration complétée, à l'extérieur (photos de mars 2014).
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Pour mieux comprendre mes commentaires, dans les segments qui vont suivre (5-a-b-c, 6, et 7), il est préférable de connaître l'histoire de l'évolution architectural de la maison, sur ses 200 ans d'existance.
La description de cette évolution, est illustrée et commentée dans les segments précédents (2, 3 et 4).
Cle document d'expertise s'intitule :
L'HISTORIQUE ARCHITECTURAL DE LA MAISON THIBAULT-SOULARD.
Dans ce segment-7, je vous présente quelques photos du résultat final, de la terminaison des travaux de restauration de l'extérieur de la maison Thibault-Soulard.
Photos prises en Mars 2014.
La maison a fait peau neuve, et trône avec fierté au centre de ce qu'était autrefois le village de Saint-Augustin.
Ce quartier historique de Ville de Saint-Augustin, présente en son centre, un arondissement qui s'appelle, le terrain des générations. La maison Thibault-Soulard, a été déménagé et restauré dans ce nouvel environnement.
L'apparence générale de la maison à l'extérieur, s'apparente à la deuxième vie de la maison lors de son agrandissement dans la 2ième moitié du 19ième siècle.
Photo-1
Le recouvrement des murs, est de déclin de bois, prépeint en usine, imite l'ancien recouvrement de déclin (qui était de l'époque du clous carrés) et qui était présent sur le bâtiment lors de sa récupération.
On a choisi des teintes diverses dans les morceaux de déclins, telles teintes assemblées alléatoirement sur les murs, pour imiter l'innégalité dans la teinte que présentait souvent autrefois, un ancien recouvrement de tel type de bois, avec sa peinture défraîchie et oxyder par le temps.
Photo-2
Les ouvertures en façades respectent les dimensions des anciennes fenêtres à 6 carreaux de la "deuxième époque" de la maison.
Les chambranles des ouvertures sont également des copies, des anciennes chambranles existantes lors de la récupération du bâtiment.
Photo-3
Les lucarnes à toit tronqué ont été reconstruites selon le gabarit ancien des anciennes lucarnes présentent lors de la récupération du bâtiment.
Photo-4
La cheminée "factice" au centre toit, représente la grosse cheminées de massonne qui trônait à cet endroit, lors de la "première vie" de la maison à l'origine de sa construction.
Par contre aujourd'hui cette cheminée sert à la ventilation du système d'échangeur d'air du bâtiment.
Système sophistiqué adapté aux exigences d'un bâtiment public, et bien camoufflé dans cette tête de cheminée.
Photo-5
Le toit a été refait en bardeaux de bois (cèdre).
Photo-6
On peut voir sur les photos 6 et 7, le détail des ornementations de fenêtres, copies conformes à ce qui existait sur le bâtiment à sa période de transformation Néoclassique tardif de la deuxième moitié du 19ième, et le type et style de déclin utilisé comme recouvrement des murs.
Photo-7
Photo-8
Photo-9
Photo-10
Une cuisine d'été a été juxtaposée au batiment ancien, pour les besoins techniques publiques d'accès au grenier de l'étage et à la cave de services.
Photo-11
Photo-12
Photo-13
Photo-14
Photo-14, l'arrière du bâtiment, qui était autrefois le mur Nord, a conservé son apparence avec de petites ouvertures de fenêtres, et les petites fenêtres de laiterie des 2 époques de la maison.
Photo-15
Les coyaux innégaux sur les 2 versants de toit, qui donnent un petit galbe à l'arrière, et un plus grand en façade, respectent également, la dernière apparence historique de la maison.
PETITE CRITIQUE ...
Le galbe du bas de versant de toit de façade de la maison,
manque de finesse dans la courbure de l'avant toit.
Comme dirait les anciens, faut voir un "bel acoyau bien courbé".
Cette faiblesse de rendu historique important, vient du fait que l'on a SIMPLEMENT utilisé
des panneaux de contreplaqués NON COURBÉS, pour "casser" le bas de l'avant toit,
et essayer d'imiter avec maladresse, la belle courbure qu'il aurait
fallu menuisé avec plus d'attention et de connaissances.
Nomalement, comme je l'explique sur la restauration de la maison Carignan, en segment 11
sur photos et textes #173 à 184, ces courbures balancées et "agréables" d'avant toits,
se menuisent avec le découpage de coyaux en courbes calibrées
et par la suite, recouverts d'une double épaisseur de contreplaqués,
minces et "courbables" par la poid du travailleur, lors de la fixation.
Voici l'exemple en photo :