Segment-1, Historique et récupération de la maison en 2004.
Segment-2, Remontage structurel des murs de la maison à son nouvel emplacement à St-Joseph du Lac (Nord de Montréal).
Segment-3, Remontage de la charpente de toit et le repontage du toit avec sa planche ancienne d'origine.
Segment-4, Suite du repontage du toit avec sa planche ancienne d'origine.
Segment-5, L'ossature du toit et des murs pour recevoir l'isolation pulvérisée.
Segment-6, Isolation, lucarnes, tôle.
Segment-6b, Suite de Isolation, lucarnes, tôle.
Segment-7, Les travaux de finition extérieure.
Photo-126
Ici sur photo-126, le toit a été isolé par pulvérisation, et un recouvrement de contreplaquer sur l'ossature, est installer pour la future réception de la tôle de recouvrement.
Photo-127
Photo-128
La maison Gauthier, possédait à son origine, deux cheminées à chaque bout du toit. Une réelle, et une factice.
Ici des boîtes de cheminées sont construites de façons similaires.
Photo-129
Sur les prochaines photos-130 à 142, l'isolation de la maison est complèter. Le toit est recouvert d'un contreplaquer et d'une membrane d'étanchéitée, prête à recevoir le recouvrement de tôle.
On peut commencer à apprécier la balancement et la calibration de volume, des différents éléments architecturaux de la maison.
Photo-130
Photo-131
La maison a été isolé murs et toit. Sur le toit, un contreplaqué de 5/8 de pouces d’épaisseur est venu, par la suite de l’étape d’isolation, couvrir l’ossature et une membrane auto-collante imperméable a été appliqué sur ce contreplaqué. Cette membrane assurer une étanchéitée temporaire du toit, jusqu’à ce que le temps soit venu pour les travaux de finition du recouvrement de celui-ci, en tôle pincée par un ferblantier.
On commence à voir la silhouette définitive de la maison. La maison Québécoise typique du milieu du 19ième siècle.
Photo-132
C’est le mixe du positionnemt des lucarnes symétriques sur le toit, en rapport avec l’agencement asymétrique des ouvertures du mur de façade plus bas, qui donne cette beauté ancestrale traditionnelle des vielles maisons.
Photo-133
Photo-134
Photo-135
Une bonne chambre d'air apparait entre l'isolation et le pontage de contreplaquer du toit. Celle-ci sera ventilée par le dessous des larmiers et le faîte du toit.
Photo-136
Photo-137
Photo-138
Photo-139
Photo-140
Photo-141
Photo-142
Sur les prochaines photos-143 à 146, le chantier est rendu à l'étape du recouvrement de tôle pincée à l'ancienne. On peut remarquer les différents paramètres qui ont été respecter sur ce bâtiment ancien.
1- L'épaisseur des débords du toit de la maison, sont très minces (environ 1.5 pouces d'épaisseur) ce qui donne une grande légèreté au bâtiment. Lorsque ce débord de toit est trop épais, comme on le voir souvent sur des constructions réalisées par des entrepreneurs conventionnels, on a l'impression d'une lourdeur qui écrase la maison. Ici c'est le contraire, la toiture semble "flotter" au dessus de la maison. J'aime à dire à mes clients, que cet élément du toit, doit être très féminin pour avoir une certaine grâce ancestrale...
2- L'épaisseur des débords de toits des lucarnes, sont plus minces que les débords de toit de la maison, et tous les autres paramètres de base pour la volumétrie des lucarnes versus la surface de toit, ont été respectés.
3- La hauteur et la volumétrie des boîtes de cheminées sont bien proportionnées au toit. La "pipe" du tuyau de poêle sort un peu trop en hauteur, nous allons rectifier cet élément.
4- La courbure du coyau est assez légère également et pas trop grosse par rapport à la volumétrie du toit, ça fait très ancien, et c'était le but de l'exercise que je prévoyais en prenant mon temps pour bien calibrer cet élément.
La finition future des murs, en bois, va venir dans le futur compléter ce beau bâtiment ancestral qui revit ...
Dossier à suivre...
Photo-143
Photo-144
Photo-145
Photo-146